Alors que plusieurs chaînes de supermarchés testent des tranches horaires « calmes » pour favoriser l’inclusion des personnes autistes, nous avons demandé à Klara Kovarski, chercheuse à l’Hôpital Fondation Rothschild et spécialiste des troubles sensoriels dans la symptomatologie autistique, de nous éclairer sur les motifs à l’origine de la mise en place de ce dispositif.
Source / Lire la suite : « Ce n’est pas le bruit, mais la variation des sons qui effraie les personnes autistes »